À JPM, le PDG d’Eli Lilly explique les raisons des ventes inférieures aux attentes de Mounjaro et Zepbound

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Lors de la récente conférence JPMorgan, le PDG d’Eli Lilly, David Ricks, a partagé des informations révélatrices concernant les performances commerciales des médicaments Mounjaro et Zepbound. Malgré une croissance impressionnante, la société a constaté que ses ventes n’atteignaient pas les attentes initialement fixées, entraînant des ajustements dans ses prévisions financières. Plusieurs facteurs ont été évoqués, notamment les changements dans les prescriptions et la disponibilité des traitements, qui ont conduit à des résultats en deçà des prévisions.

Lors de la conférence annuelle J.P. Morgan Healthcare, le PDG d’Eli Lilly, David Ricks, a abordé les ventes décevantes de ses médicaments Mounjaro et Zepbound. Malgré une croissance des revenus de 32 % en 2024, cette performance est jugée insatisfaisante par rapport aux attentes initiales. Ricks a attribué cette situation à plusieurs facteurs, notamment des ventes inférieures durant le mois de décembre, ainsi que des changements dans les politiques d’assurance qui ont limité le nombre de prescriptions pour les patients. Il a également souligné que la disponibilité des médicaments était insuffisante à la fin de l’année, mais a rejeté l’idée d’un ralentissement général de l’adoption des traitements.

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Lors de la conférence annuelle J.P. Morgan Healthcare, le PDG d’Eli Lilly, David Ricks, a discuté des ventes inférieures aux attentes des médicaments Mounjaro et Zepbound. En 2024, la croissance des revenus de la société a atteint 32 %, un chiffre qui, bien que significatif, n’a pas satisfaite les prévisions initiales. Ricks a intrigué les investisseurs à travers ses commentaires, cherchant à apaiser les craintes face à une performance jugée en deça des espoirs placés dans la technologie de ces médicaments.

les raisons de l’ajustement des prévisions

Les prévisions ajustées qui ont été présentées suggèrent un chiffre d’affaire de 13,5 milliards de dollars pour le quatrième trimestre, soit une baisse de 400 millions par rapport aux attentes initiales. Ce recul s’explique par des ventes de Mounjaro et Zepbound qui n’ont pas répondu aux anticipations du marché, principalement en raison des ventes inférieures aux attentes de ces médicaments. Ricks a souligné que les ajustements font partie de la gestion d’une entreprise qui opére dans un secteur aussi dynamique qu’imprevu.

les défis rencontrés sur le marché

Plusieurs facteurs ont induit cette ralentissement des ventes. Ricks a noté que les modifications apportées aux r&eacutedactions de Medicare ont pu freiner les patients veillant à ne pas se procurer deux prescriptions en un mois. De plus, Eli Lilly a constaté un stock de Mounjaro et Zepbound inférieur aux prévisions attendues. Malgré tout, Ricks affiche un optimisme mesuré sur l’évolution future de ces médicaments sur le marché.

Lors de la récente conférence annuelle de J.P. Morgan, le PDG d’Eli Lilly, David Ricks, a expliqué les raisons pour lesquelles les ventes des médicaments emblématiques Mounjaro et Zepbound n’ont pas atteint les attentes des investisseurs. Bien que la société ait enregistré une croissance des revenus de 32% pour l’année 2024, ce chiffre a été jugé décevant au regard des prévisions antérieures. Ricks a reconnu que la révision à la baisse des prévisions pour le quatrième trimestre, fixées à environ 13,5 milliards de dollars, était principalement due à des ventes inférieures aux attentes de ces traitements contre le diabète et l’obésité.

Un des éléments clés soulignés par Ricks est que les ventes de Mounjaro, qui étaient attendues à hauteur de 3,5 milliards de dollars pour le dernier trimestre, ont sous-performé à cause d’une dynamique de marché plus complexe, incluant des modifications des régimes d’assurance et des limitations imposées aux prescriptions multiples. En effet, les changements dans Medicare Part D ont empêché certains patients de récupérer deux traitements différents en un seul mois, ce qui a contribué à cette déception.

De plus, Ricks a mentionné que des stocks insuffisants de ces médicaments à la fin de l’année ont également impacté les ventes au quatrième trimestre. Malgré ces défis, il reste optimiste quant à l’avenir des médicaments métaboliques, affirmant que le marché est toujours en phase d’essor. Il a insisté sur le fait que la demande existante pour ces traitements est prometteuse et que plusieurs nouvelles opportunités, telles que l’extension de l’utilisation de tirzepatide à d’autres indications médicales, devraient dynamiser les ventes dans le futur.

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